Us publicacion dera Société d’Édition Occitane en 1921.
Canti Còrsi
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En lengua occitana
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The medieval troubadours of the South of France profoundly influenced European literature for many centuries. This book is the first full-length study of the first-person subject position adopted by many of them in its relation to language and society. Using modern theoretical approaches, Sarah Kay discusses to what extent this first person is a “self” or “character,” and how far it is self-determining. Kay draws on a wide range of troubadour texts, providing many close readings and translating all medieval quotations into English. Her book will be of interest both to scholars of medieval literature, and to anyone investigating subjectivity in lyric poetry.
Like Old French, from the 9th to the 13th century, Old Occitan preserved the two-case system of Vulgar Latin, subjective and objective, and it seems that until the middle of the 12th century, the written and spoken languages were identical. Then, the distinction between the cases disappeared in spoken usage, though they still persisted in the written texts of the Trobadors. This period can be qualified as the Golden Age or the time of the Trobadors.
A second period ranges from the beginning of the 14th century to the middle of the 16th. It is characterized by the dropping altogether of the flexions in witten texts, by the beginning of dialectization, the dropping of courteous vocabulary and the use of learned words borrowed from Latin and Greek to express law, medecine, philosophy and theology. Occitan was no longer a literary language, but it was used to write the deeds, the accounts, the chronicles and the resolutions of local communities. Since the second half of the 16th century to our days, Occitan was banned from written documents, and reduced to oral usage only, mainly by country and working people, in their everyday life, at work or at home.
Ce Dictionnaire comprend donc les 37,000 mots de Littré, plus 2,200 termes recueillis de part et d’autre. Il eût été facile d’en augmenter le volume en y faisant place aux proverbes dont la langue d’Oc est si pittoresquement émaillée, à l’explication des us et coutumes qui surnagent encore dans l’envahissement de l’uniformité désespérante où se monotonise l’univers entier, à la description de nos vieilles cités, à la généalogie des hommes qui ont illustré notre patrie ensoleillée ; mais, outre que ces données ont été déjà consignées ailleurs, le plan du présent livre devait le maintenir en un cadre restreint, dans un format accessible au grand nombre ; il ne comporte pas de développements historiques ni géographiques : il ne vise que la Unguistique, le lecteur n’y trouvera rien d’inutile. Nous avons néanmoins la confiance qu’il y rencontrera tout ce que l’état actuel des sciences et des lettres lui donne le droit d’y chercher: les idiotismes particuliers à notre Midi, l’expression propre qui échappe parfois, lorsque deux langues se côtoient, le mot pittoresque qui n’apparaît pas au moment désiré, l’abondance variée que l’éclatante floraison du Félibrige réclame de ses amoureux.
Orthographe et prononciation, Grammaire et syntaxe, Lexique A à ZHéritière du latin, la langue d’oc s’est formée dans la continuité de la désagrégation de l’empire romain. On fixe généralement le XI ème siècle comme la période achevant définitivement la formation de la langue nouvelle. Dès ses origines, comme pour les autres langues latines, la langue d’oc présentait des variations régionales, dont les grands dialectes actuelles sont les continuateurs.
Le mot occitan, ancien mais quasiment inusité pendant longtemps, est aujourd’hui admis pour désigner l’ensemble des parlers prolongateurs de l’ancienne langue d’oc. Il remplace vantageusement le terme provençal autrefois utilisé avec le même sens.
Il est de nos jours couramment admis de classer les parlers occitans en six dialectes: le limousin, le gascon, l’auvergnat, le languedocien, le vivaro-alpin et le provençal. Cette classification, basée sur des critères uniquement linguistiques, ne recouvrent toutefois pas la délimitation des provinces de même nom. Au sein de l’Occitanie, le vivaro-alpin lui-même souffre d’un défaut d’identification sociale claire, et il est souvent désigné sous les noms de ‘dauphinois’, ‘nord-provençal’, ‘gavot’, ‘provençal-alpin’.
La langue d’oc ou occitan représente, à coté du catalan, du français, du francoprovencal, du castillan, [.] une des grandes langues romanes ou néo-latines qui se sont développées a partir d’une symbiose entre le latin populaire.
Pierre Bec ei professeur à l’Université de Poitiers, ancien Président de l’Institut d’Etudes Occitanes, ancien Directeur du Centre d’Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale.
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