Publicat dempús deth manuscrit unic de Carcassona.
Editat per J. Delpech en 1865.
Publicat dempús deth manuscrit unic de Carcassona.
Editat per J. Delpech en 1865.
Category: | Novèlla |
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Tags: | lectures, novella istorica, occitan |
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En lengua occitana
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Cette méthode d occitan donne à voir toutes les variétés (ou dialectes) d occitan. La première partie de l ouvrage présente le languedocien standard une variété qui permet de comprendre assez aisément la plupart des autres dialectes occitans puisque l aire languedocienne occupe le centre géographique de l espace occitan. La méthode revient ensuite sur les six principaux dialectes de l aire occitane (auvergnat, gascon, languedocien, limousin, provençal, vivaro-alpin) parlés dans trois pays (France, Espagne, Italie) et donne également accès à l occitan médiéval sur une série de leçons. Les acteurs locaux, très actifs dans la promotion de leur langue, ont été partie intégrante de cet ouvrage à la fois par le biais des relectures et des enregistrements. Cet ouvrage a été publié avec le soutien de la Direction Générale de la Langue Française et des Langues de France (Ministère de la Culture) et de l Union Latine.
This major reference work is the fourth volume in the series “Arthurian Literature in the Middle Ages”. Its intention is to update the French and Occitan chapters in R.S. Loomis’ “Arthurian Literature in the Middle Ages: A Collaborative History” (Oxford, 1959) and to provide a volume which will serve the needs of students and scholars of Arthurian literature. The principal focus is the production, dissemination and evolution of Arthurian material in French and Occitan from the twelfth to the fifteenth century. Beginning with a substantial overview of Arthurian manuscripts, the volume covers writing in both verse (Wace, the Tristan legend, Chretien de Troyes and the Grail Continuations, Marie de France and the anonymous lays, the lesser known romances) and prose (the Vulgate Cycle, the prose Tristan, the Post-Vulgate Roman du Graal, etc.).
La langue d’oc ou occitan représente, à coté du catalan, du français, du francoprovencal, du castillan, [.] une des grandes langues romanes ou néo-latines qui se sont développées a partir d’une symbiose entre le latin populaire.
Pierre Bec ei professeur à l’Université de Poitiers, ancien Président de l’Institut d’Etudes Occitanes, ancien Directeur du Centre d’Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale.
Orthographe et prononciation, Grammaire et syntaxe, Lexique A à ZHéritière du latin, la langue d’oc s’est formée dans la continuité de la désagrégation de l’empire romain. On fixe généralement le XI ème siècle comme la période achevant définitivement la formation de la langue nouvelle. Dès ses origines, comme pour les autres langues latines, la langue d’oc présentait des variations régionales, dont les grands dialectes actuelles sont les continuateurs.
Le mot occitan, ancien mais quasiment inusité pendant longtemps, est aujourd’hui admis pour désigner l’ensemble des parlers prolongateurs de l’ancienne langue d’oc. Il remplace vantageusement le terme provençal autrefois utilisé avec le même sens.
Il est de nos jours couramment admis de classer les parlers occitans en six dialectes: le limousin, le gascon, l’auvergnat, le languedocien, le vivaro-alpin et le provençal. Cette classification, basée sur des critères uniquement linguistiques, ne recouvrent toutefois pas la délimitation des provinces de même nom. Au sein de l’Occitanie, le vivaro-alpin lui-même souffre d’un défaut d’identification sociale claire, et il est souvent désigné sous les noms de ‘dauphinois’, ‘nord-provençal’, ‘gavot’, ‘provençal-alpin’.
From Petrarch and Dante to Pound and Eliot, the influence of the troubadours on European poetry has been profound. They have rightly stimulated a vast amount of critical writing, but the majority of modern critics see the troubadour tradition as a corpus of earnestly serious and confessional love poetry, with little or no humour. Troubadours and Irony re-examines the work offiveearly troubadours, namely Marcabru, Bernart Marti, Peire d’Alvernha, Raimbaut d’Aurenga and Giraut de Borneil, to argue that the courtly poetry of Southern France in the twelfth century was permeated with irony and that many troubadour songs were playful, laced with humorous sexual innuendo and far from serious; attention is also drawn to the large corpus of texts that are not love poems, but comic or satirical songs. New interpretations of many problematic troubadour poems are offered; in some cases the received view of a troubadour’s work is questioned. New perspectives on the tradition as a whole are suggested, and consequently on courtly culture in general. The author addresses the philological problems, by no means negligible, posed by the texts in question, and several poems are re-edited from the manuscripts.
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