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Era sillaba, es difgtongs e triftongs
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En lengua occitana
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Orthographe et prononciation, Grammaire et syntaxe, Lexique A à ZHéritière du latin, la langue d’oc s’est formée dans la continuité de la désagrégation de l’empire romain. On fixe généralement le XI ème siècle comme la période achevant définitivement la formation de la langue nouvelle. Dès ses origines, comme pour les autres langues latines, la langue d’oc présentait des variations régionales, dont les grands dialectes actuelles sont les continuateurs.
Le mot occitan, ancien mais quasiment inusité pendant longtemps, est aujourd’hui admis pour désigner l’ensemble des parlers prolongateurs de l’ancienne langue d’oc. Il remplace vantageusement le terme provençal autrefois utilisé avec le même sens.
Il est de nos jours couramment admis de classer les parlers occitans en six dialectes: le limousin, le gascon, l’auvergnat, le languedocien, le vivaro-alpin et le provençal. Cette classification, basée sur des critères uniquement linguistiques, ne recouvrent toutefois pas la délimitation des provinces de même nom. Au sein de l’Occitanie, le vivaro-alpin lui-même souffre d’un défaut d’identification sociale claire, et il est souvent désigné sous les noms de ‘dauphinois’, ‘nord-provençal’, ‘gavot’, ‘provençal-alpin’.
Presentam, damb gòi, un nau vocabulari terminologic, elaborat damb critèris diferents der anterior, eth dera tecnologia, que publiquèrem hè un an. S’eth Voca- bulari dera tecnologia seguie critèris de coeréncia damb tot eth territòri lingüistic occitan, s’aquiu preníem coma referéncia era denominacion a nivèu de tota Oc- citania e l’adaptàuem ara realitat aranesa, en aguest cas auem priorizat er emplec enes nòsti encastres e demoram projectar-lo ara rèsta deth territòri. Ei un procès naturau, era Val d’Aran ei un país de nhèu, qu’a emplegat era terminologia maugrat tot, en dia a dia.
Er estudi deth lexic ei essenciau ena lengua. Sense paraules non i a comunicacion verbau. Eth sòn bon usatge darà lòc a ua riquesa deth lenguatge e a ua precision lingüistica.
Eth diccionari ei era airina didactica imprescindibla en aguest procès d’ense- nhança-aprendissatge dera lengua; airina ath viatge, imprescindibla entà obtier informacion e en terren lingüistic era mès emplegada pera màger part d’aguesti usatgèrs.
Víuer en un parçan de nhèu e de montanha, a on era practica des espòrts d’iuèrn ei cada viatge mès grana e deuant era abséncia en aranés d’un diccionari damb era terminologia sus aguesta tematica, mos a portat ath besonh dera sua elaboracion.
Es espòrts d’iuèrn son quinsevolha modalitat esportiva relacionada damb era nhèu e damb eth gèu, ja sigue de forma naturau o artificiau.
Ara ora de confeccionar-lo s’an trapat ua seria de dificultats degudes principau- ment ara tematica de trabalh, ar argòt de bères modalitats vinculades a grops d’edat joena (surf de nhèu), a modalitats naues e sustot as neologismes e estrangerismes fixadi e arraïtzadi ena societat. Gessen constantament naui tèrmes, fòrça d’eri provienti der anglés que son d’usatge comun entre es aficionadi ad aguesti espòrts.
Cette méthode d occitan donne à voir toutes les variétés (ou dialectes) d occitan. La première partie de l ouvrage présente le languedocien standard une variété qui permet de comprendre assez aisément la plupart des autres dialectes occitans puisque l aire languedocienne occupe le centre géographique de l espace occitan. La méthode revient ensuite sur les six principaux dialectes de l aire occitane (auvergnat, gascon, languedocien, limousin, provençal, vivaro-alpin) parlés dans trois pays (France, Espagne, Italie) et donne également accès à l occitan médiéval sur une série de leçons. Les acteurs locaux, très actifs dans la promotion de leur langue, ont été partie intégrante de cet ouvrage à la fois par le biais des relectures et des enregistrements. Cet ouvrage a été publié avec le soutien de la Direction Générale de la Langue Française et des Langues de France (Ministère de la Culture) et de l Union Latine.
El Valle de Arán, tan caracterizado geográficamente por sus verdes praderas, sus tupidos bosques, sus arriscadas cimas, tiene también un habla que lo define: el aranés, que, como se nos dice en la introducción de este libro, no es propiamente un dialecto catalán, sino que está emparentado con el gascón, que se conserva todavía vivo entre las gentes del pueblo de los lugares del sur de Francia, que constituyen las históricas tierras de la Gascuña.
Casimiro Ademá, el autor de este estudio, aparte de poseer unos conocimientos poco comunes en la materia –aún no siendo un especialista en filología–, nos da de este fenómeno lingüístico un testimonio vivo y directo adquirido esencialmente en las conversaciones y convivencia con las gentes de su tierra.
Les ouvrages élémentaires qui présentent l’état actuel du parler occitanien à l’étude de la jeune génération — espoir et continuateur du Félibrige indéfectible dans son épanouissement, ces ouvrages conçus sur le modèle classique des méthodes grammaticales en usage dans les écoles publiques, n’auraient guère de raison d’être, à la suite des nombreuses publications faisant connaître les divers dialectes de notre belle langue.
Aussi bien, l’auteur de Francino aprèn la lengo d’Oc inaugure-t-il une méthode toute différente, grâce à laquelle l’intérêt éveillé chez l’élève efface ce qu’il y a de rébarbatif dans l’étude: sa nièce Francine, à l’âge où l’on commence à noter les différences d’élocution dans les conversations familières des camarades, à s’étonner et même à se moquer d’expressions qui fleurent le terroir, du moins, de l’avis de ces jeunes inexpériences, est rendue attentive à l’impropriété de transposer littéralement en français ces occitanismes de bonne marque et pour en éviter le mélange, se fait expliquer la valeur des expressions d’Oc, se pique au jeu et s’attache à en découvrir les beautés idiomatiques. Le français ne s’y perfectionne pas moins que l’occitanien: si bien que, son enthousiasme de néophyte aidant, elle va dépasser la mesure, ferait fi des origines latines de son parler, origines qu’elle n’est plus éloignée de placer au-dessus des divers dialectes d’Oc: Mais, mon oncle, s’écrie Francine, vous n’y pensez pas! Ce mot est un gallicisme!
Sous cette apparence bon enfant, il ne faudrait pas, néanmoins, mésestimer la valeur de l’ouvrage que M. Bouchard d’Esquieu offre aujourd’hui à la sagacité de nos étudiants méridionaux: serait-il donc à propos d’en supprimer ce qui constitue l’originalité d’une œuvre didactique si parfaitement agencée que, d’une petite personne dédaigneuse et moqueuse, il a fait une enthousiaste, qu’il faut même rappeler à la réalité des faits, que son imagination créerait volontiers pour le bouleversement de la philologie officielle?
Peu d’auteurs ont su rendre attrayante à la jeunesse une matière si spéciale.
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