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Els números
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En lengua occitana
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Aquest conte parla sobre la descoberta del primer amor. En aquesta història un nen haurà de fer mans i mànigues per aconseguir donar el seu primer petó a l’Helena, la seva enamorada. L’artista internacional Gusti il·lustra aquest conte original de l’escriptora de literatura infantil i juvenil Victòria Bermejo. En aquesta ocasió, però, ha estat adaptat per Lluís Arcarazo.
En Malhòrca conden un conde d’aqueri que te hissen es peus ensús. Ei ua istòria fantastica que sonque se pòt explicar as mainatges e mainades que non an páur.
“Eth mèn eròi ès tu” ei un libre escrit entara mainadèra de tot eth mon afectada pera pandèmia de COVID-19.
“Eth mèn eròi ès tu” a d’èster liejut per un pair, velhador o professor amassa damb un mainatge o mainada o un petit grop de mainadèra. Non ei recomanable qu’era mainadèra liege eth conde de manèra independenta sense eth supòrt d’un adult. Era guida complementària nomentada “Accions entà eròis” (que se publicarà mès endauant) aufrís supòrt entà abordar tèmes restacadi damb era COVID-19, en tot ajudar ara mainadèra a contrarotlar es sòns sentiments e emocions, atau coma activitats complementàries entà qu’era mainadèra les hèsquen basant-se en libre.
Les ouvrages élémentaires qui présentent l’état actuel du parler occitanien à l’étude de la jeune génération — espoir et continuateur du Félibrige indéfectible dans son épanouissement, ces ouvrages conçus sur le modèle classique des méthodes grammaticales en usage dans les écoles publiques, n’auraient guère de raison d’être, à la suite des nombreuses publications faisant connaître les divers dialectes de notre belle langue.
Aussi bien, l’auteur de Francino aprèn la lengo d’Oc inaugure-t-il une méthode toute différente, grâce à laquelle l’intérêt éveillé chez l’élève efface ce qu’il y a de rébarbatif dans l’étude: sa nièce Francine, à l’âge où l’on commence à noter les différences d’élocution dans les conversations familières des camarades, à s’étonner et même à se moquer d’expressions qui fleurent le terroir, du moins, de l’avis de ces jeunes inexpériences, est rendue attentive à l’impropriété de transposer littéralement en français ces occitanismes de bonne marque et pour en éviter le mélange, se fait expliquer la valeur des expressions d’Oc, se pique au jeu et s’attache à en découvrir les beautés idiomatiques. Le français ne s’y perfectionne pas moins que l’occitanien: si bien que, son enthousiasme de néophyte aidant, elle va dépasser la mesure, ferait fi des origines latines de son parler, origines qu’elle n’est plus éloignée de placer au-dessus des divers dialectes d’Oc: Mais, mon oncle, s’écrie Francine, vous n’y pensez pas! Ce mot est un gallicisme!
Sous cette apparence bon enfant, il ne faudrait pas, néanmoins, mésestimer la valeur de l’ouvrage que M. Bouchard d’Esquieu offre aujourd’hui à la sagacité de nos étudiants méridionaux: serait-il donc à propos d’en supprimer ce qui constitue l’originalité d’une œuvre didactique si parfaitement agencée que, d’une petite personne dédaigneuse et moqueuse, il a fait une enthousiaste, qu’il faut même rappeler à la réalité des faits, que son imagination créerait volontiers pour le bouleversement de la philologie officielle?
Peu d’auteurs ont su rendre attrayante à la jeunesse une matière si spéciale.
Orthographe et prononciation, Grammaire et syntaxe, Lexique A à ZHéritière du latin, la langue d’oc s’est formée dans la continuité de la désagrégation de l’empire romain. On fixe généralement le XI ème siècle comme la période achevant définitivement la formation de la langue nouvelle. Dès ses origines, comme pour les autres langues latines, la langue d’oc présentait des variations régionales, dont les grands dialectes actuelles sont les continuateurs.
Le mot occitan, ancien mais quasiment inusité pendant longtemps, est aujourd’hui admis pour désigner l’ensemble des parlers prolongateurs de l’ancienne langue d’oc. Il remplace vantageusement le terme provençal autrefois utilisé avec le même sens.
Il est de nos jours couramment admis de classer les parlers occitans en six dialectes: le limousin, le gascon, l’auvergnat, le languedocien, le vivaro-alpin et le provençal. Cette classification, basée sur des critères uniquement linguistiques, ne recouvrent toutefois pas la délimitation des provinces de même nom. Au sein de l’Occitanie, le vivaro-alpin lui-même souffre d’un défaut d’identification sociale claire, et il est souvent désigné sous les noms de ‘dauphinois’, ‘nord-provençal’, ‘gavot’, ‘provençal-alpin’.
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