Publicat dempús deth manuscrit unic de Carcassona.
Editat per J. Delpech en 1865.
Publicat dempús deth manuscrit unic de Carcassona.
Editat per J. Delpech en 1865.
Category: | Novèlla |
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Tags: | lectures, novella istorica, occitan |
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En lengua occitana
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In 1209 Simon of Montfort led a war against the Cathars of Languedoc after Pope Innocent III preached a crusade condemning them as heretics. The suppression of heresy became a pretext for a vicious war that remains largely unstudied as a military conflict. Laurence Marvin here examines the Albigensian Crusade as military and political history rather than religious history, and traces these dimensions of the conflict through to Montfort’s death in 1218. He shows how Montfort experienced military success in spite of a hostile populace, impossible military targets, armies that dissolved every forty days, and a pope who often failed to support the crusade morally or financially. He also discusses the supposed brutality of the war, why the inhabitants were for so long unsuccessful at defending themselves against it, and its impact on Occitania. This original account will appeal to scholars of medieval France, the Crusades, and medieval military history.
LAURENCE W. MARVIN is Associate Professor of History at the Evans School of Humanities, Berry College, Georgia.
La langue d’oc ou occitan représente, à coté du catalan, du français, du francoprovencal, du castillan, [.] une des grandes langues romanes ou néo-latines qui se sont développées a partir d’une symbiose entre le latin populaire.
Pierre Bec ei professeur à l’Université de Poitiers, ancien Président de l’Institut d’Etudes Occitanes, ancien Directeur du Centre d’Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale.
Ce Dictionnaire comprend donc les 37,000 mots de Littré, plus 2,200 termes recueillis de part et d’autre. Il eût été facile d’en augmenter le volume en y faisant place aux proverbes dont la langue d’Oc est si pittoresquement émaillée, à l’explication des us et coutumes qui surnagent encore dans l’envahissement de l’uniformité désespérante où se monotonise l’univers entier, à la description de nos vieilles cités, à la généalogie des hommes qui ont illustré notre patrie ensoleillée ; mais, outre que ces données ont été déjà consignées ailleurs, le plan du présent livre devait le maintenir en un cadre restreint, dans un format accessible au grand nombre ; il ne comporte pas de développements historiques ni géographiques : il ne vise que la Unguistique, le lecteur n’y trouvera rien d’inutile. Nous avons néanmoins la confiance qu’il y rencontrera tout ce que l’état actuel des sciences et des lettres lui donne le droit d’y chercher: les idiotismes particuliers à notre Midi, l’expression propre qui échappe parfois, lorsque deux langues se côtoient, le mot pittoresque qui n’apparaît pas au moment désiré, l’abondance variée que l’éclatante floraison du Félibrige réclame de ses amoureux.
Cette méthode d occitan donne à voir toutes les variétés (ou dialectes) d occitan. La première partie de l ouvrage présente le languedocien standard une variété qui permet de comprendre assez aisément la plupart des autres dialectes occitans puisque l aire languedocienne occupe le centre géographique de l espace occitan. La méthode revient ensuite sur les six principaux dialectes de l aire occitane (auvergnat, gascon, languedocien, limousin, provençal, vivaro-alpin) parlés dans trois pays (France, Espagne, Italie) et donne également accès à l occitan médiéval sur une série de leçons. Les acteurs locaux, très actifs dans la promotion de leur langue, ont été partie intégrante de cet ouvrage à la fois par le biais des relectures et des enregistrements. Cet ouvrage a été publié avec le soutien de la Direction Générale de la Langue Française et des Langues de France (Ministère de la Culture) et de l Union Latine.
Dins del domini gascó, i alhora reflectint la situació occitana general, hi ha una variació interna notòria entre les diferents varietats que omplen el territori. En aquest sentit, el comengès, que enclavem en el gascó pirinenc oriental (subdialecte que abasta una zona que comprèn la Vall d’Aran, l’àrea de La Varossa, el Comenge meridional i el Coserans), es diferencia d’una manera prou evident d’altres variants més occidentals, justament per la seua condició de parlar fronterer, situat en una zona interferencial, en paraules de Bèc (1968), entre el gascó i el llenguadocià. El treball que prossegueix mira de fer una descripció d’alguns aspectes fonètics i lexicals d’un dels municipis de parla comengesa, Era Barta d’Arribèra, localitzada estratègicament a pocs quilòmetres de Sent Gaudenç, capital històrica del Comenge i de l’antiga comarca del Nebosan.
Like Old French, from the 9th to the 13th century, Old Occitan preserved the two-case system of Vulgar Latin, subjective and objective, and it seems that until the middle of the 12th century, the written and spoken languages were identical. Then, the distinction between the cases disappeared in spoken usage, though they still persisted in the written texts of the Trobadors. This period can be qualified as the Golden Age or the time of the Trobadors.
A second period ranges from the beginning of the 14th century to the middle of the 16th. It is characterized by the dropping altogether of the flexions in witten texts, by the beginning of dialectization, the dropping of courteous vocabulary and the use of learned words borrowed from Latin and Greek to express law, medecine, philosophy and theology. Occitan was no longer a literary language, but it was used to write the deeds, the accounts, the chronicles and the resolutions of local communities. Since the second half of the 16th century to our days, Occitan was banned from written documents, and reduced to oral usage only, mainly by country and working people, in their everyday life, at work or at home.
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